Composé de 4 mini-films mêlant document et fiction, le film se souvient de 4 périodes différentes de l’expérience sexuelle : L’homosexualité liée à l’œuvre du baron Von Gloeden / Magnus Hirscheld et l’extermination homosexuelle par les nazis / L’utopique libération sexuelle des années 60 / Un dialogue à la Diderot entre un homosexuel et un touriste. Jamais peut-être plus que chez Lionel Soukaz, le cinéma contemporain mérite davantage l’appellation de langue ou écriture de la réalité que Pasolini lui avait accordé - René Scherer